Festival Dinard Opening
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Les concerts :
Parc du Château Hébert / Concert pique-nique
4 août à 19h : Cut Capers
Un brass band ultra-énergique. Leur univers navigue entre latin, funk et soul, le tout avec de belles influences hip hop. Un phénomène à ne pas manquer… ils vont enflammer la pelouse du Château Hébert à l’aide de leurs saxophone, trombone, trompette, guitare, basse, percussions et de leurs voix mixtes mais à majorité féminine, ce qui est suffisamment rare pour être noté ! Originaire de Bristol, Cut Capers s’est bâti une solide réputation grâce à ses concerts qui ne sont rien d’autre que des expériences vivifiantes, avec des arrangements grandioses, des riffs de cuivres tonitruants et des solos scintillants !
Après Say What (2016) et Metropolis (2019), ils ont sorti en septembre 2023 leur troisième album Sightseeing & Short Negotiations dans lequel on retrouve tant les arrangements groovy que les envolées déchaînées qui signent l’originalité du groupe.
Église anglicane / Concert tea-time
5 août à 17h – Fearghal McCartan & Pascale Seigle
Un voyage musical en terres celtes. Des Îles Féroé, en passant par l’Écossse, l’Irlande, l’Île de Man… jusqu’à la Galice, les Asturies, et la presqu’île de Plougastel…
Fearghal McCartan, harpe celtique
Originaire du Comté de Down en Irlande, Fearghal a longtemps enseigné la harpe celtique en Écosse, avant de s’installer en France près de Chambéry, où il enseigne la harpe. Il se produit régulièrement en concert et, notamment, avec l’ensemble Muztik, anime des ateliers autour de la musique irlandaise avec l’AMTrad. En partenariat avec Harp Ireland, il organise chaque année la Journée de la Harpe, et retourne régulièrement en Écosse et en Irlande pour y enseigner et y organiser des concerts.
Pascale Seigle, violon
Après des études au conservatoire de Lyon, Pascale se perfectionne auprès de Marie-Annick Nicolas dans la continuité pédagogique de l’École Russe du violon. Elle se produit en concert, maniant avec joie et dextérité des styles de musiques éclectiques et variés : musiques classiques, jazzy, variétés, musiques du monde (musiques traditionnelles des Balkans, russes, slovaques, celtiques, françaises). Pascale est violoniste au sein de l’Orchestre symphonique des Marais à Aix-les-Bains.
Parvis de port-breton
6 août à 20h – Keziah Jones (1re partie YKO)
Virtuose de la guitare, inventeur du "blufunk", Keziah Jones mélange habilement ses influences, comme Miles Davis, Fela Kuti, Prince, avec son magnétisme électrique et son engagement social.
À l’âge de 8 ans, Keziah, Nigérian d’origine, est envoyé à Londres pour faire sa scolarité. C’est dans la capitale anglaise qu’il découvre sa passion pour la musique. Keziah Jones commence à se produire dans des pubs londoniens et dans les souterrains du métro avant de quitter Londres pour Paris. C’est là que Phil Pickett, directeur artistique du label Delabel France le découvre au début des années 90. Très influencé par le funk de Prince, le jazz de Miles, le rock d’Hendrix et les rythmes afro beat de Fela Kuti, le natif de Lagos a sans cesse affiné son style unique : le Blufunk, une infusion de punk-funk, croisée avec l’attitude Yoruba qu’il a fait évoluer au fil des ans.
Jusqu’à aujourd’hui, huit albums racontent l’histoire de Keziah Jones, de 1992 à 2013. L’année 2003 voit la sortie de son quatrième album Black Orpheus, qui lui assure une notoriété internationale… Plus de 10 ans après son dernier album, son dernier opus prend parfois des accents soul. Loin du jeu de guitare effréné qui a fait sa renommée, il signe de nouveaux titres adoucis de rythm’n’blues, de soul et de groove caressant, sans rien perdre de la ferveur et de l’impulsivité qui lui ont valu sa notoriété.
C’est donc cet album sorti en janvier 2025 chez Because Music ALIVE & KICKING que nous livrera Keziah, un album majeur aux allures de manifeste qui associe covers et nouveaux titres à ses plus grands tubes en version live.
Keziah Jones est "Plus vivant que jamais" !
7 août à 20h – Peter Perrett (1re partie Flora Hibberd)
Le songswriter présente un double album ambitieux de 20 chansons, le troisième de sa carrière en solo, après How The West Was Won en 2017, suivi par Humanworld en 2019. Un inimaginable come-back de l’histoire du rock.
Étoile filante du post punk avec ses flamboyants The Only Ones (1978-1981), l’anglais Peter Perrett a passé 35 ans à brûler la vie par les deux bouts… avant de reprendre finalement le chemin des studios en 2017 à la surprise générale. Peter Perrett, 72 ans, joue désormais solo et ne devra pas rejoindre six pieds sous terre cette génération cabossée pour que l’on prenne enfin la pleine mesure de son songwriting incroyable, trait d’union parfait entre l’Amérique de Lou Reed et l’Australie de Nick Cave.
The Cleansing ne fait pas le récit d’une vie, il utilise « à des fins artistiques » de bribes décousues d’introspection qui émanent d’un sceptique ou d’un agnostique jamais repenti et qui, à sa manière, continue de se délecter de sa propre noirceur et de sa propre insensibilité.
Mélodies uniques, narcotiques et envoûtantes, portées par un superbe accent du sud de Londres et une dynamique rock captivante, arrangements et de thématiques lyriques, l’ensemble concourt à aborder des sujets essentiels : l’art, la dépendance, l’âge, les réseaux sociaux, les procès de sorcières, entre autres.
"Certains sujets traitent de la mort, du suicide et de la dépression, souligne Perrett, mais je trouve que l’album dégage une atmosphère stimulante, car je prends manifestement plaisir à découvrir ce qui se passe autour de moi. " À ses côtés, une équipe de confiance !
8 août à 20h – Yodelice (1re partie Les Kitschenette’s)
"What’s the cure ?" ou le nouveau champ des possibles… D’abord avec The Circle, album introspectif sorti en 2022, qui purge les névroses, relance la machine, et boucle en quelque sorte l’étincelle née d’un voyage, début 2000, où sous le soleil espagnol, Maxime avait créé son jumeau solaire (et un peu lunaire) Yodelice.
Et nous voilà plus tard avec le re-nouveau Yodelice : What’s the Cure?. « J’ai enfilé un nouveau costume de clown » dit-il, amusé. Yodelice a retrouvé ses marques et réinventé sa page blanche. Mais ce n’est qu’une étape parmi d’autres puis que un nouveau Yodelice revisitera sur scène à Dinard son dernier album…. Surprise, surprise…
Si ses premiers albums furent un vibrant hommage à la musique folk, au blues ou encore à l’Americana, l’écoute des premières notes de ce nouveau disque semblent plus guider vers le froid et la pluie anglaise d’une Angleterre post 70’s. Un endroit hanté de personnages à la Ian Curtis, Robert Smith ou Dave Gahan, « Sans doute quelques réminiscences de mes études de musique à Londres » confie-t-il, car s’il est, en effet, voyageur, c’est plutôt entre Milan, Los Angeles et Paris que le projet fut pensé. Voyage avant tout intérieur, il s’agissait de retrouver le plaisir, et, plus que tout, « fuir la facilité, explorer, ne jamais tomber dans la recette ». Se mettre en danger, et renaître. Renaissance qui commence, c’est souvent le cas, par une rencontre : Gesaffelstein, génie de l’électro, qui va offrir un nouveau champ des possibles à son ami.
"Comment digérer mes influences tout en allant de l’avant ? Assumer cet amour presque fétichiste pour mes guitares et vieilles machines, mais aussi, celui, tout aussi profond, des synthétiseurs et des boîtes à rythme ? C’est en me posant ces questions qu’est venue l’idée d’un disque qui serait bâti exclusivement sur des boîtes à rythmes et (presque entièrement) sur des basses synthétiques tout en gardant mes guitares et mon jeu. C’est ce travail de recherche, mélange d’Amérique organique et d’Angleterre synthétique qui crée le son un peu hybride et inédit pour moi de cet album". Des rythmes droits auxquels marier les envies oniriques de Maxim. Les bandes originales de Pulp Fiction ou Blade Runner et des gros sons de guitare entrant en collision avec la froideur numérique de beats faits-machine. Beau, étonnant, nouveau, audacieux, inédit, fort et profond. Comme lui.
Les animations à la médiathèque L'Ourse :
30 juillet/7 août – Café musique
Quiz So British & Irish sessions
Sur inscription.
6/7 août – Ateliers adultes et enfants en langue anglaise
In english, please !
Sur inscription.
Parc du Château Hébert / Concert pique-nique
4 août à 19h : Cut Capers
Un brass band ultra-énergique. Leur univers navigue entre latin, funk et soul, le tout avec de belles influences hip hop. Un phénomène à ne pas manquer… ils vont enflammer la pelouse du Château Hébert à l’aide de leurs saxophone, trombone, trompette, guitare, basse, percussions et de leurs voix mixtes mais à majorité féminine, ce qui est suffisamment rare pour être noté ! Originaire de Bristol, Cut Capers s’est bâti une solide réputation grâce à ses concerts qui ne sont rien d’autre que des expériences vivifiantes, avec des arrangements grandioses, des riffs de cuivres tonitruants et des solos scintillants !
Après Say What (2016) et Metropolis (2019), ils ont sorti en septembre 2023 leur troisième album Sightseeing & Short Negotiations dans lequel on retrouve tant les arrangements groovy que les envolées déchaînées qui signent l’originalité du groupe.
5 août à 17h – Fearghal McCartan & Pascale Seigle
Un voyage musical en terres celtes. Des Îles Féroé, en passant par l’Écossse, l’Irlande, l’Île de Man… jusqu’à la Galice, les Asturies, et la presqu’île de Plougastel…
Fearghal McCartan, harpe celtique
Originaire du Comté de Down en Irlande, Fearghal a longtemps enseigné la harpe celtique en Écosse, avant de s’installer en France près de Chambéry, où il enseigne la harpe. Il se produit régulièrement en concert et, notamment, avec l’ensemble Muztik, anime des ateliers autour de la musique irlandaise avec l’AMTrad. En partenariat avec Harp Ireland, il organise chaque année la Journée de la Harpe, et retourne régulièrement en Écosse et en Irlande pour y enseigner et y organiser des concerts.
Pascale Seigle, violon
Après des études au conservatoire de Lyon, Pascale se perfectionne auprès de Marie-Annick Nicolas dans la continuité pédagogique de l’École Russe du violon. Elle se produit en concert, maniant avec joie et dextérité des styles de musiques éclectiques et variés : musiques classiques, jazzy, variétés, musiques du monde (musiques traditionnelles des Balkans, russes, slovaques, celtiques, françaises). Pascale est violoniste au sein de l’Orchestre symphonique des Marais à Aix-les-Bains.
6 août à 20h – Keziah Jones (1re partie YKO)
Virtuose de la guitare, inventeur du "blufunk", Keziah Jones mélange habilement ses influences, comme Miles Davis, Fela Kuti, Prince, avec son magnétisme électrique et son engagement social.
À l’âge de 8 ans, Keziah, Nigérian d’origine, est envoyé à Londres pour faire sa scolarité. C’est dans la capitale anglaise qu’il découvre sa passion pour la musique. Keziah Jones commence à se produire dans des pubs londoniens et dans les souterrains du métro avant de quitter Londres pour Paris. C’est là que Phil Pickett, directeur artistique du label Delabel France le découvre au début des années 90. Très influencé par le funk de Prince, le jazz de Miles, le rock d’Hendrix et les rythmes afro beat de Fela Kuti, le natif de Lagos a sans cesse affiné son style unique : le Blufunk, une infusion de punk-funk, croisée avec l’attitude Yoruba qu’il a fait évoluer au fil des ans.
Jusqu’à aujourd’hui, huit albums racontent l’histoire de Keziah Jones, de 1992 à 2013. L’année 2003 voit la sortie de son quatrième album Black Orpheus, qui lui assure une notoriété internationale… Plus de 10 ans après son dernier album, son dernier opus prend parfois des accents soul. Loin du jeu de guitare effréné qui a fait sa renommée, il signe de nouveaux titres adoucis de rythm’n’blues, de soul et de groove caressant, sans rien perdre de la ferveur et de l’impulsivité qui lui ont valu sa notoriété.
C’est donc cet album sorti en janvier 2025 chez Because Music ALIVE & KICKING que nous livrera Keziah, un album majeur aux allures de manifeste qui associe covers et nouveaux titres à ses plus grands tubes en version live.
Keziah Jones est "Plus vivant que jamais" !
Le songswriter présente un double album ambitieux de 20 chansons, le troisième de sa carrière en solo, après How The West Was Won en 2017, suivi par Humanworld en 2019. Un inimaginable come-back de l’histoire du rock.
Étoile filante du post punk avec ses flamboyants The Only Ones (1978-1981), l’anglais Peter Perrett a passé 35 ans à brûler la vie par les deux bouts… avant de reprendre finalement le chemin des studios en 2017 à la surprise générale. Peter Perrett, 72 ans, joue désormais solo et ne devra pas rejoindre six pieds sous terre cette génération cabossée pour que l’on prenne enfin la pleine mesure de son songwriting incroyable, trait d’union parfait entre l’Amérique de Lou Reed et l’Australie de Nick Cave.
The Cleansing ne fait pas le récit d’une vie, il utilise « à des fins artistiques » de bribes décousues d’introspection qui émanent d’un sceptique ou d’un agnostique jamais repenti et qui, à sa manière, continue de se délecter de sa propre noirceur et de sa propre insensibilité.
Mélodies uniques, narcotiques et envoûtantes, portées par un superbe accent du sud de Londres et une dynamique rock captivante, arrangements et de thématiques lyriques, l’ensemble concourt à aborder des sujets essentiels : l’art, la dépendance, l’âge, les réseaux sociaux, les procès de sorcières, entre autres.
"Certains sujets traitent de la mort, du suicide et de la dépression, souligne Perrett, mais je trouve que l’album dégage une atmosphère stimulante, car je prends manifestement plaisir à découvrir ce qui se passe autour de moi. " À ses côtés, une équipe de confiance !
"What’s the cure ?" ou le nouveau champ des possibles… D’abord avec The Circle, album introspectif sorti en 2022, qui purge les névroses, relance la machine, et boucle en quelque sorte l’étincelle née d’un voyage, début 2000, où sous le soleil espagnol, Maxime avait créé son jumeau solaire (et un peu lunaire) Yodelice.
Et nous voilà plus tard avec le re-nouveau Yodelice : What’s the Cure?. « J’ai enfilé un nouveau costume de clown » dit-il, amusé. Yodelice a retrouvé ses marques et réinventé sa page blanche. Mais ce n’est qu’une étape parmi d’autres puis que un nouveau Yodelice revisitera sur scène à Dinard son dernier album…. Surprise, surprise…
Si ses premiers albums furent un vibrant hommage à la musique folk, au blues ou encore à l’Americana, l’écoute des premières notes de ce nouveau disque semblent plus guider vers le froid et la pluie anglaise d’une Angleterre post 70’s. Un endroit hanté de personnages à la Ian Curtis, Robert Smith ou Dave Gahan, « Sans doute quelques réminiscences de mes études de musique à Londres » confie-t-il, car s’il est, en effet, voyageur, c’est plutôt entre Milan, Los Angeles et Paris que le projet fut pensé. Voyage avant tout intérieur, il s’agissait de retrouver le plaisir, et, plus que tout, « fuir la facilité, explorer, ne jamais tomber dans la recette ». Se mettre en danger, et renaître. Renaissance qui commence, c’est souvent le cas, par une rencontre : Gesaffelstein, génie de l’électro, qui va offrir un nouveau champ des possibles à son ami.
"Comment digérer mes influences tout en allant de l’avant ? Assumer cet amour presque fétichiste pour mes guitares et vieilles machines, mais aussi, celui, tout aussi profond, des synthétiseurs et des boîtes à rythme ? C’est en me posant ces questions qu’est venue l’idée d’un disque qui serait bâti exclusivement sur des boîtes à rythmes et (presque entièrement) sur des basses synthétiques tout en gardant mes guitares et mon jeu. C’est ce travail de recherche, mélange d’Amérique organique et d’Angleterre synthétique qui crée le son un peu hybride et inédit pour moi de cet album". Des rythmes droits auxquels marier les envies oniriques de Maxim. Les bandes originales de Pulp Fiction ou Blade Runner et des gros sons de guitare entrant en collision avec la froideur numérique de beats faits-machine. Beau, étonnant, nouveau, audacieux, inédit, fort et profond. Comme lui.
Quiz So British & Irish sessions
Sur inscription.
In english, please !
Sur inscription.
- Infos pratiques
- Tout public
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Tarif(s) :6 à 40 €/concert
Billetterie en ligne, Dinard Côte d’Émeraude Tourisme, réseau France billet/FNAC et sur place les soirs de concert dans la limite des places disponibles
Toutes les informations en ligne ici.
- Organisateur(s)
-
Ville de Dinard
02 99 16 00 00
http://www.ville-dinard.fr