Festival de Malguénac - Arts des villes, arts des champs
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28e édition de ce grand rendez-vous estival des amoureux du jazz mais pas que ! La programmation :
Jeudi 21 août
[Na] - 19h30, chapiteau
[Na], c’est tout le sel d’un esprit libertaire et effréné, à l’instar de l’hypersensibilité brisée de Thelonious Monk. Un goût pour l’insoumission et la revendication joyeuse, qui traverse autant le jazz que le punk et la new-wave, courants qui se retrouvent mêlés dans les compositions du groupe strasbourgeois, lauréat du dispositif Jazz Migration.
Christie Dashiell Quartet "Journey In Black" - 20h30, salle Résonnance
Découverte par sa participation au collectif Black Lives, Christie Dashiell est loin d’être une débutante. Fille du bassiste Caroll Dashiell Jr, qui a notamment travaillé avec Bobby Watson et Maceo Parker, la chanteuse a déjà publié en 2016 un album personnel, “Time All Mine”, enregistré avec Marquis Hill, Marcus Strickland et Nicholas Payton, et fait partie de la version actuelle du groupe vocal Sweet Honey In The Rocks.
Le Fieffé Fou - 21h45, site extérieur
Envoûté, envoûtant … le fieffé fou, c’est un homme et son accordéon, un homme et sa voix … Il revisite avec un étrange mélange de puissance et de fragilité des chansons et poésies illustres ou méconnues. Brut. Sans chercher les regards, presque malgré lui, il nous emmène. On est étonné, on se sent vivant, embarqué et prêt à danser parfois.
Grégory Privat - 22h15, salle Résonnance
Après deux solos très intimistes, le pianiste et chanteur Grégory Privat revient avec PHOENIX, un album lumineux qui célèbre le cycle de la vie et le fait de renaître constamment de ses cendres.
Une métaphore sur l’oiseau de feu qui se veut être la continuité de l’album SOLEY paru en 2020.
On retrouve le contrebassiste Chris Jennings et le batteur Tilo Bertholo pour un trio hors du commun, vers un jazz spirituel entre pop urbaine, chants créoles, et musique électronique.
NI - 23h45, chapiteau
Ce concert est une chance unique de venir naviguer entre rock expérimental, musique de chambre révolutionnaire, jazz à l’énergie punk, jusqu’au mouvement zeuhl et au-delà…
Fol naïs, littéralement « né fou » en vieux françois, est le titre de leur dernier album. Et cela reflète bien l’état d’esprit du quatuor. Math Rock ? Noise ? Métal ? Jazz ? Ni franchit une étape supplémentaire dans sa quête du Graal, déployant autant de gaudriole que de courroux…
Vendredi 22 août
BriGan - 19h30, chapiteau
Projet rennais, BriGan est emmené par le trompettiste Brian Ruellan et ses compositions mûrement travaillées. BriGan ne manquera pas de vous en mettre plein les oreilles avec un jazz rock progressif, lumineux et solaire. Le groupe, porté avec cinq autres musicien.nes talentueux-ses, navigue de contrepoints en cinématographie musicale.
Joe Sanders Feat. Logan Richardson, Jure Pukl & Gregory Hutchinson - 20h30, salle Résonnance
Tout comme ses lignes de basse ne restent jamais dans les limites de l’évidence, la vie de Joe Sanders en tant que bassiste, compositeur, leader et éducateur n’a jamais suivi une voie unique.
Originaire du Midwest, Joe a étudié et a joué du jazz de part et d’autre des États-Unis (Milwaukee, Californie, New York). Maître de la contrebasse, il est également à l’aise à la basse électrique et dans la production numérique; ancré profondément dans la tradition vivante du jazz américain. Toutes ces composantes d’une personnalité complexe se retrouvent sur son troisième album, "Parallels".
Le Fieffé Fou - 21h45, site extérieur
Envoûté, envoûtant … le fieffé fou, c’est un homme et son accordéon, un homme et sa voix … Il revisite avec un étrange mélange de puissance et de fragilité des chansons et poésies illustres ou méconnues. Brut. Sans chercher les regards, presque malgré lui, il nous emmène. On est étonné, on se sent vivant, embarqué et prêt à danser parfois.
Band of Dogs Septet feat. Mike Ladd - 22h15, salle Résonnance
Après sept années de duos augmentés mémorables, de quêtes sonores permanentes et de rencontres improbables, la paire Gleizes-Morel nous a proposé une nouvelle formule en sextet ultra convaincante lors d’un concert inaugural de sa mue il y a an et demi. Un parcours qui retrace les trois disques de Band of Dogs (Noir, Blanc, Rouge) avec toujours au cœur du propos cette envie de réutiliser la matière des enregistrements, comme une matière que l’on épure dans l’œuvre alchimique. Une nouvelle histoire qui se poursuit donc par un petit retour vers le passé mais avec tout de suite le souhait d’aller de l’avant autour d’une nouvelle équipe de killers.
Kraffft - 23h45, chapiteau
KRAFFFT, c’est un nouveau quintet électrique, artisan d’un rock-surf psychédélique et éruptif, nourri d’influences exoticas, des Balkans au Caucase. Leur musique se veut métamorphique, fécondée au gré d’aventures explosives, se déversant en nuées ardentes dans une fresque épique où se bagarrent hirsutes Kukeri et volcanologues au fatal destin, salamandres et phonolithes en technicolor, tallavas tectoniques et kucheks de série Z. Cette formation finistérienne réunit des musiciens issus de la scène Rock comme des musiques populaires trad. (Burek, Yog Sothoth, Electric Bazar Cie, Grassman & BigFoot, Slonovski Bal…)
Samedi 23 août :
Kaolila - 19h30, chapiteau
Avec "Pilhoù" (bzh: chiffons), Kaolila lance un appel au dépaysement. Inspiré par les anciennes chiffonnières de Bretagne, chantres nomades des traditions populaires, le groupe livre un hymne à toutes les Femmes du monde. Accompagné sur scène de poupées rétro-punk et haute-couture, il raconte leurs histoires : Des célébrités et guerrières oubliées à celles qui parlent chiffons, aux autres qui colportent des chansons.
Dick Annegarn - 20h30, salle Résonnance
Plus de 50 ans de poésie naturaliste. Qui en France a écrit autant de chansons pour honorer la terre ? "Sacré géranium", "Bébé éléphant", "Mireille", "Vélo va", "L’Orage", "Quelle Belle Vallée" Dick Annegarn ne chante pas que "Bruxelles". L’auteur-compositeur-interprète vit depuis longtemps dans une ferme au pied des Pyrénées. Étudiant en agronomie néerlandais et francophone il a fait fleurir dans les consciences des chansons à chanter simples et émouvantes. La nature est un souci et une joie.
Moonlight Benjamin - 22h15, salle Résonnance
Une voix puissante résonne depuis les profondeurs d’Haïti, portée par la chanteuse et prêtresse vaudoue Moonlight Benjamin. Elle fait résonner les voix des poètes haïtiens et exprime les luttes et les espoirs d’un peuple. Avec son mélange unique de rythmes afro-caribéens, de blues-rock inspiré de Dr John ou des Black Keys, elle offre une expérience musicale inoubliable.
Un mélange musical mystifiant et mystique, quasi-shamanique, une incantation libératrice au milieu des guitares déchaînées et des batteries percussives.
The Wacky Jugs - 23h30, chapiteau
En 2020, les Wacky Jugs ont enregistré un album hommage au Blues très remarqué (Wild, Wired And Wicked) avant de tourner intensivement, convaincant internationalement les fans du genre, et marquant le paysage de leur empreinte très personnelle.
Mais si sur scène ils séduisent par l’audace de leur arrangements des vieux Jugbands et autres Blues centenaires, ils surprennent surtout par leurs compositions inclassables.
Lolomis - 0h30, salle Résonnance
Lolomis change de mue une nouvelle fois, Avec son album Carmen 404, il s’embarque sur les sentiers du rituel. Une cavalcade impétueuse entre rêveries diaphanes, état de surconscience, transe poisseuse et rituel de possession. A mi-chemin entre Nina Hagen et Billie Eilish, la flûte, harpe, batterie, machines et la voix de Lolomis proposent désormais une musique rugueuse, arrachée caressant le digital punk et la witch house dans une formule polyglotte incantatoire.
[Na], c’est tout le sel d’un esprit libertaire et effréné, à l’instar de l’hypersensibilité brisée de Thelonious Monk. Un goût pour l’insoumission et la revendication joyeuse, qui traverse autant le jazz que le punk et la new-wave, courants qui se retrouvent mêlés dans les compositions du groupe strasbourgeois, lauréat du dispositif Jazz Migration.
Découverte par sa participation au collectif Black Lives, Christie Dashiell est loin d’être une débutante. Fille du bassiste Caroll Dashiell Jr, qui a notamment travaillé avec Bobby Watson et Maceo Parker, la chanteuse a déjà publié en 2016 un album personnel, “Time All Mine”, enregistré avec Marquis Hill, Marcus Strickland et Nicholas Payton, et fait partie de la version actuelle du groupe vocal Sweet Honey In The Rocks.
Envoûté, envoûtant … le fieffé fou, c’est un homme et son accordéon, un homme et sa voix … Il revisite avec un étrange mélange de puissance et de fragilité des chansons et poésies illustres ou méconnues. Brut. Sans chercher les regards, presque malgré lui, il nous emmène. On est étonné, on se sent vivant, embarqué et prêt à danser parfois.
Après deux solos très intimistes, le pianiste et chanteur Grégory Privat revient avec PHOENIX, un album lumineux qui célèbre le cycle de la vie et le fait de renaître constamment de ses cendres.
Une métaphore sur l’oiseau de feu qui se veut être la continuité de l’album SOLEY paru en 2020.
On retrouve le contrebassiste Chris Jennings et le batteur Tilo Bertholo pour un trio hors du commun, vers un jazz spirituel entre pop urbaine, chants créoles, et musique électronique.
Ce concert est une chance unique de venir naviguer entre rock expérimental, musique de chambre révolutionnaire, jazz à l’énergie punk, jusqu’au mouvement zeuhl et au-delà…
Fol naïs, littéralement « né fou » en vieux françois, est le titre de leur dernier album. Et cela reflète bien l’état d’esprit du quatuor. Math Rock ? Noise ? Métal ? Jazz ? Ni franchit une étape supplémentaire dans sa quête du Graal, déployant autant de gaudriole que de courroux…
Projet rennais, BriGan est emmené par le trompettiste Brian Ruellan et ses compositions mûrement travaillées. BriGan ne manquera pas de vous en mettre plein les oreilles avec un jazz rock progressif, lumineux et solaire. Le groupe, porté avec cinq autres musicien.nes talentueux-ses, navigue de contrepoints en cinématographie musicale.
Tout comme ses lignes de basse ne restent jamais dans les limites de l’évidence, la vie de Joe Sanders en tant que bassiste, compositeur, leader et éducateur n’a jamais suivi une voie unique.
Originaire du Midwest, Joe a étudié et a joué du jazz de part et d’autre des États-Unis (Milwaukee, Californie, New York). Maître de la contrebasse, il est également à l’aise à la basse électrique et dans la production numérique; ancré profondément dans la tradition vivante du jazz américain. Toutes ces composantes d’une personnalité complexe se retrouvent sur son troisième album, "Parallels".
Envoûté, envoûtant … le fieffé fou, c’est un homme et son accordéon, un homme et sa voix … Il revisite avec un étrange mélange de puissance et de fragilité des chansons et poésies illustres ou méconnues. Brut. Sans chercher les regards, presque malgré lui, il nous emmène. On est étonné, on se sent vivant, embarqué et prêt à danser parfois.
Après sept années de duos augmentés mémorables, de quêtes sonores permanentes et de rencontres improbables, la paire Gleizes-Morel nous a proposé une nouvelle formule en sextet ultra convaincante lors d’un concert inaugural de sa mue il y a an et demi. Un parcours qui retrace les trois disques de Band of Dogs (Noir, Blanc, Rouge) avec toujours au cœur du propos cette envie de réutiliser la matière des enregistrements, comme une matière que l’on épure dans l’œuvre alchimique. Une nouvelle histoire qui se poursuit donc par un petit retour vers le passé mais avec tout de suite le souhait d’aller de l’avant autour d’une nouvelle équipe de killers.
KRAFFFT, c’est un nouveau quintet électrique, artisan d’un rock-surf psychédélique et éruptif, nourri d’influences exoticas, des Balkans au Caucase. Leur musique se veut métamorphique, fécondée au gré d’aventures explosives, se déversant en nuées ardentes dans une fresque épique où se bagarrent hirsutes Kukeri et volcanologues au fatal destin, salamandres et phonolithes en technicolor, tallavas tectoniques et kucheks de série Z. Cette formation finistérienne réunit des musiciens issus de la scène Rock comme des musiques populaires trad. (Burek, Yog Sothoth, Electric Bazar Cie, Grassman & BigFoot, Slonovski Bal…)
Avec "Pilhoù" (bzh: chiffons), Kaolila lance un appel au dépaysement. Inspiré par les anciennes chiffonnières de Bretagne, chantres nomades des traditions populaires, le groupe livre un hymne à toutes les Femmes du monde. Accompagné sur scène de poupées rétro-punk et haute-couture, il raconte leurs histoires : Des célébrités et guerrières oubliées à celles qui parlent chiffons, aux autres qui colportent des chansons.
Plus de 50 ans de poésie naturaliste. Qui en France a écrit autant de chansons pour honorer la terre ? "Sacré géranium", "Bébé éléphant", "Mireille", "Vélo va", "L’Orage", "Quelle Belle Vallée" Dick Annegarn ne chante pas que "Bruxelles". L’auteur-compositeur-interprète vit depuis longtemps dans une ferme au pied des Pyrénées. Étudiant en agronomie néerlandais et francophone il a fait fleurir dans les consciences des chansons à chanter simples et émouvantes. La nature est un souci et une joie.
Une voix puissante résonne depuis les profondeurs d’Haïti, portée par la chanteuse et prêtresse vaudoue Moonlight Benjamin. Elle fait résonner les voix des poètes haïtiens et exprime les luttes et les espoirs d’un peuple. Avec son mélange unique de rythmes afro-caribéens, de blues-rock inspiré de Dr John ou des Black Keys, elle offre une expérience musicale inoubliable.
Un mélange musical mystifiant et mystique, quasi-shamanique, une incantation libératrice au milieu des guitares déchaînées et des batteries percussives.
En 2020, les Wacky Jugs ont enregistré un album hommage au Blues très remarqué (Wild, Wired And Wicked) avant de tourner intensivement, convaincant internationalement les fans du genre, et marquant le paysage de leur empreinte très personnelle.
Mais si sur scène ils séduisent par l’audace de leur arrangements des vieux Jugbands et autres Blues centenaires, ils surprennent surtout par leurs compositions inclassables.
Lolomis change de mue une nouvelle fois, Avec son album Carmen 404, il s’embarque sur les sentiers du rituel. Une cavalcade impétueuse entre rêveries diaphanes, état de surconscience, transe poisseuse et rituel de possession. A mi-chemin entre Nina Hagen et Billie Eilish, la flûte, harpe, batterie, machines et la voix de Lolomis proposent désormais une musique rugueuse, arrachée caressant le digital punk et la witch house dans une formule polyglotte incantatoire.
- Infos pratiques
- Tout public
-
Tarif(s) :15 à 23 € pass 1 jour, 50 à 55 € pass 3 jours
Programme complet festival-malguenac.fr
- Organisateur(s)
-
Association Polyculture
02 97 27 38 74
L'association organise le Festival de Malguénac - Arts des villes, arts des champs qui a lieu chaque été en août
https://festival-malguenac.fr/
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asso.polyculture@orange.fr